Domaines de la Parrhesia

Un jardin dans les Graves

Les Domaines de la Parrhèsia sont formés de deux propriétés, Château Couloumey, Classé Monument Historique, et Château Le Tuquet dont la Chartreuse date du 18ème siècle.

Leurs vignes idéalement situées à Beautiran, sont entourées de bois et de clairières. A l’abri des regards, ces châteaux produisent des vins expressifs et racés que les nouveaux propriétaires Delphine et Guillaume Journel ont à cœur de faire découvrir.

Visuel un jardin dans les graves

παρρησία

Du grec ancien Parrhèsia

(parler de tout), dire sa vérité.

Le dire vrai, vivre sa vérité c’est la résonnance de la Parrhèsia pour Delphine et Guillaume Journel :

la poursuite des passions, le guide de leur investissement sur le long terme.

Penser demain

Guillaume Journel débute sa vie professionnelle avec l’appel de la musique. Après des études de philosophie, il embrasse une carrière de dirigeant dans l’entreprise familiale opérant dans le secteur de la santé au niveau international, qui les amène de Paris au Canada. Ils y restent 11 ans.

Delphine Journel étudie l’histoire de l’art et travaille d’abord dans le prêt-à-porter de luxe à Paris entre beaux objets et responsabilités managériales. Au Québec, elle travaille dans la vie associative et caritative faite d’évènementiel et de missions de communication. Elle renoue avec le théâtre, et se réinvente en hôtesse de folles réceptions.

Leurs passions restent comme suspendues : Guillaume a gardé son âme de philosophe, et une passion secrète pour le vin. Delphine son goût pour l’humain et l’accueil.

En 2020, la crise sanitaire les oblige à se repenser, et c’est alors que la vigne, le vin et son art de vivre se révèlent comme une évidence.

Guillaume supervise le château Demonpère, un domaine acquis il y a quelques années par son père en Provence, et Delphine a passé ses vacances d’enfance dans les vignes de la maison familiale de Cognac Braastad à Jarnac. Les bases sont là, et ils se sentent bien entourés pour mener à bien ce projet romantique.

Commence la quête du lieu parfait qui verra concrétiser leurs projets d’une nouvelle vie dans le vignoble bordelais. La magie opère en terres de Graves.

Visuel un jardin dans les graves

Pari d’audace

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Un pari d’audace

Leurs projets trouvent aujourd’hui une dimension nouvelle et très personnelle dans l’acquisition coup de cœur de ces deux domaines joyaux de Beautiran.

A l’origine, le couple tombe sous le charme instantané du Château Couloumey. Son architecture, son merveilleux parc et ses paisibles plans d’eau.

C’est alors que le Château Le Tuquet, à quelques mètres de là se trouve en vente, donnant une nouvelle envergure et des défis grisants au projet.

Les Domaines de la Parrhèsia sont nés.

Aujourd’hui, le vignoble compte une trentaine d’hectares exploités sur les 90 qui seront petit à petit replantés, entourés de bois et de clairière. Ici la biodiversité est naturellement présente, et le vignoble est on ne peut plus vivant.

Chaque Château est tel un joyau brut, une belle endormie qu’il faudra réveiller. Les vins, eux, auront la patte des néo-vignerons, attentifs aux détails, dans leur époque, soucieux d’exprimer tant le terroir que la richesse aromatique du fruit.

Alors que le Château Couloumey signe les cuvées confidentielles les plus prestigieuses des domaines, il accueille le public en tant que Monument Historique en période estivale, 40 jours par an.

Château Le Tuquet quant à lui, avec ses bâtiments agricoles pleins de charme, et sa chartreuse du XVIIIe a une vocation tracée dans la réception et l’oenotourisme.

La rénovation de la chartreuse du Tuquet aura lieu cette année. De grands salons aux prestations anciennes, une terrasse dominant le parc, de grands escaliers de pierre sur le jardin laissent entrevoir le potentiel d’un lieu élégant à l’abri des regards.

Les Domaines de la Parrhèsia sont nés.

Réceptions privées à partir de 2024.

Un pari d’audace
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« Je crois que la parrhèsia va être la présence, chez celui qui parle, de sa propre forme de vie rendue manifeste, présente sensible et active, comme modèle dans le discours qu’il tient. »

Michel Foulcault Conférence sur la Parrhèsia, 1982-1983, prononcée à Berkeley.

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